(extraites de Mathématiques en liberté, de Pierre Cartier, Jean Dhombres, Gerhard Heinzmann et Cédric Villani )
En exagérant un peu, on pourrait presque définir les mathématiques de cette tradition grecque comme une science dans laquelle on peut se débarrasser du maître. Je veux dire que l'objet des mathématiques, c’est de pouvoir faire seul. La fameuse expression de Cantor : "l'essence des mathématiques, c'est la liberté" est tout à fait pertinente en ce sens que faire des mathématiques, c'est se les approprier, sans pour autant déposséder qui que ce soit. (p. 26)
André Weil a aussi prôné l'idée de considérer Gauss ou Euler comme nos contemporains, comme nos collègues de l'autre côté du couloir. Autrement dit, il faut fréquenter les classiques. (p. 107)
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Matrices de booléens, symétries et conjecture de Goldbach
lien vers la note du 5.2.25 (au sujet de la bicouche !) on continue le 8.2.25. Et on trouve peut-être un invariant le 10.2.25.

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