Dans la salle de conférence de l'Institut de France, Alain Connes nous a raconté l'histoire de la résolution de l'équation cubique et du nombre complexe "piu di meno", et de nombreuses autres choses. On trouve le petit poème secret que Tartaglia avait envoyé à Cardan sur la toile (entre autres, dans un article Wolfram intitulé "Solving a depressed cubic with Scipione del Ferro's Idea"). Une cubique n'est pas déprimée, les anglo-saxons appellent "depressed cubic" une cubique qui ne contient pas de terme en $x^2$.
On consultera à profit ce texte de Nicole Bopp de l'Université de Strasbourg.
J'ai pris une photo dans la bibliothèque de l'Institut d'un herbier de l'exposition L'Herbier-monde, parce qu'elle me rappelait ma feuille de magnolia (que j'avais postée là ).
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lien vers la traduction. Ne reste plus qu'à transcrire en Latex la partie en hiéroglyphes... Lentement, mais sûrement... super-défi ! ...
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La démonstration par Alain Connes du théorème de Morley est une démonstration géométrique utilisant les affixes complexes des sommets d'...
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